Tes doigts, légers comme une plume
Couchent sur mon corps comme sur le papier
Les mots que mon esprit qui s'embrume
Ne serait même prononcer
Des mots de voluptés, sensuels
Qui parsèment les frémissement sur mon corps
Qui éclaire le noir de mes prunelles
Avec une passion naissante telle, sur la nuit vaste, l'aurore
Ta bouche, nourrissant de baisés ma peau
M'enivrant de mots que je ne comprends guère
Mais je sais que ton membre se tient haut
Pointe vers moi, alanguis des préliminaires
Laisse moi, je ne connais que le désir
Les cris du cœur n'ont pas besoin d'être dis
J'ai trop peur qu'il ne puisse qu'assourdir
La puissance de mes cris.
Au plaisir de vous écrire,
D.D
Couchent sur mon corps comme sur le papier
Les mots que mon esprit qui s'embrume
Ne serait même prononcer
Des mots de voluptés, sensuels
Qui parsèment les frémissement sur mon corps
Qui éclaire le noir de mes prunelles
Avec une passion naissante telle, sur la nuit vaste, l'aurore
Ta bouche, nourrissant de baisés ma peau
M'enivrant de mots que je ne comprends guère
Mais je sais que ton membre se tient haut
Pointe vers moi, alanguis des préliminaires
Laisse moi, je ne connais que le désir
Les cris du cœur n'ont pas besoin d'être dis
J'ai trop peur qu'il ne puisse qu'assourdir
La puissance de mes cris.
Au plaisir de vous écrire,
D.D